mercredi 23 août 2023

MA GÉNÉALOGIE : BAILLY-BERNARD-COGGIA-COUROUVE-CRAISSAC-DAUBERT-DIANI-DUTERTRE-ÉON-LETOURNEUX-OLIVIERI-PURZYCKI-REDEL-RICHARD-SOLLACARO-WATRIN





Mon arbre sur GeneaNet : clcourouve

Mes 16 arrière-arrière-grands-parents (AAGP) selon leurs lieux de naissance:
Côté paternel :
1 Girondin (Bailly),
1 Haut-Garonnais (Daubert),
1 Lyonnais (Bernard),
1 Marnais (Watrin),
2 Mosellans (Courouve, Redel),
1 Polonais (Purzycki),
1 Sarthois (Richard). 
Côté maternel : 
4 Corses (Coggia, Diani, Olivieri, Sollacaro),
4 Nantais (Craissac, Dutertre, Éon, Letourneux). 

J'ai repéré, en remontant le plus loin possible dans chaque branche, une trentaine de points d'origines géographiques dans 11 départements français ; donc très largement " Français de souche ":
Ain : Bourg-Saint-Christophe (canton de Meximieux, arrondissement de Bourg-en-Bresse) et Chazey-sur-Ain (canton de Lagnieu, arrondissement de Belley) ;
Charente-MaritimeSaint-Savinien (arrondissement de Saint-Jean-d'Angély) ;
Corse-du-sud (GMM OLIVIERI) :
Arrondissement d'Ajaccio : Ajaccio
Arrondissement de Sartène, canton de Figari : Figari et Pianottoli-Caldarello (Zérubia) ; 
Haute-GaronneCugnaux (canton de Tournefeuille, arrondissement de Toulouse) ; Seysses-Tolosane (canton et arrondissement de Muret) ;
GirondeLormont (canton de Lormont, arrondissement de Bordeaux) ;
Hérault : Montpeyroux (canton de Gignac, arrondissement de Lodève) ;
Loire-Atlantique (GPM ÉON) :
Arrondissements :
 - Ancenis : Bonnœuvre (canton de Saint-Mars-la-Jaille) ; Couffé (canton de Ligné) ; Saint-Géréon (canton d'Ancenis) ; Saint-Mars-la-Jaille.
 - Châteaubriand : Petit-Mars (canton de Nort-sur-Erdre)
 - Nantes : Pont-Saint-Martin (canton de Bouaye) ; Saint-Herblain.
 - Saint-Nazaire, canton de Savenay : Bouée ; Malville.
Meuse :
Arrondissement de Verdun :
canton de Montfaucon d'Argonne : Bantheville, Cunel et Gesnes-en-Argonne ;
canton de Dun-sur-Meuse : Aincreville
MoselleMarsilly (canton de Pange, arrondissement de Metz-Campagne) ;
Metz et Thionville ;
Novéant-sur-Moselle (canton Les Côteaux de Moselle, arrondissement de Metz) :
Sarthe :
Arrondissement de La Flèche, canton de Brûlon : Chantenay-Villedieu, Maigné, Pirmil, Saint-Christophe-en-Champagne et Saint-Pierre-des-Bois ;
VendéeLa Garnache (canton de Challans, arrondissement des Sables-d'Olonne) ;
Pologne : Varsovie ? (patronyme Purzycki), pour 1/16 (6,25 %) de mon ascendance.



Mes trente-deux arrière-arrière-arrière-grands-parents (AAAGP ou 4-aïeux, quadrisaïeux) :

En gras, les patronymes conservés à la génération suivante.

Jeanne Marie Étiennette ALAUX (épouse Daubert), Jean BAILLY, Marguerite BARDIN (épouse Redel), Anne BARJOLLE (épouse Craissac), Caterina BARTOLI (épouse Olivieri), Louis BERNARDJoseph Antoine COGGIAMagdelaine CORTICCHIATO (épouse Sollacaro), Jean CRAISSAC, Jean Nicolas II COUROUVE, Barthélémy Antoine DAUBERT, Giacomo DIANI, Maria Francesca DIANI (épouse Diani), Marie Catherine DRUARD (épouse Watrin), Pierre DUTERTRE, André ÉON, Marie Françoise GAGNEUX (épouse Bernard), Marie GAUDARD/GODARD (épouse Letourneux), Jeanne GAUTEY (épouse Bailly), Louise LEMERCIER (épouse Richard), François LETOURNEUX, Madeleine MÉNÉ (épouse Courouve), Marie Anne MACKINSKA (épouse Purzycki), Marie Catherine MINEAUD (épouse Éon), Marianne NOCETO (épouse Coggia), Louiso OLIVIERI, Melchior PURZYCKI, Dominique REDEL, François RICHARD, Félix Antoine SOLLACARO, Jeanne THIEVIN (épouse Dutertre), Jean WATRIN.

88 patronymes d'ascendants (SOSA) connus (ceux des 32 quadrisaïeux, et 56 au-delà) :

ALAUX, ALBITRECCIA,

BAILLY, BARBÉ, BARBIERI, BARDIN, BARJOLLE, BARTOLI, BASTELICA, BENOISTON, BERNARD, BERNIN, BONNEAU, BOSSARD,

CAHYER, CAPMARTY, CARLES, CHAMPION, CHEVALLIER, COGGIA, COLLIGNON, CONEAU, CORTICCHIATO, COURGEAUD, COUROUVE, CRAISSAC,

DAUBERT, DELAUZE, DEROUET, DIANI (2 fois), DONZELLA, DRILLON, DRUART, DUBOIS, DUGAST, DUTERTRE,

ÉON,

FAVELLA,

GAGNEUX, GAUDARD, GAUTEY, GUILHAUMON, GUILLARD,

HÉAS, HOUDAYER,

JUVIN,

LALLEMENT, LAUVRAY, LÉGER, LEMERCIER, LEPLET, LETOURNEUX/TOURNEUX, LONJON, LOYER, LUNOT,

MACKINSKA, MAIGNE, MAUCLAIR, MÉNÉ, MENORET, MINEAUD, MOIRÉ,  MOISAN, MONGAULT, MORIN

NICOLAS, NOCETO, NOUET, NOUGARÈDE,

OGNON, OLIVIERI,

POITEVIN, PROVOST, PURZYCKI,

RADIGOIS, REDEL, RICHARD,

SALLEBŒUF, SARTELET, SAURIN, SOLLACARO, SOMAIZE, SORET,

TAVERA, THIEVIN,

VÉRON, VIAUD,

WATRIN,

(Ces patronymes sont classés par générations en bas de cette page)


Patronymes alliés aux collatéraux :

Absil,Arnauld,
Barta, Bertola,
Clément, Cloitre,
Fabre,
Garçain,
Humbert,
Jahier, Jardin,
Loison,
Maisani, Marchal,
Paganelli,
Soufflard,
Wisler,
Zigliara.


A / Notices sur mes grands-parents


B / Présentation de ma généalogie à partir des arrière-grands-parents (bisaïeux)


A/ Mes grands-parents :
Frédéric Nietzsche : « On est beaucoup plus l’enfant de ses quatre grands-parents que de ses deux parents : cela vient du fait que dans le temps où nous sommes conçus, les parents ne se sont pas encore stabilisés ; les germes du caractère de nos grands-parents mûrissent en nous . en nos enfants les germes de nos parents. » (Fragment posthume, automne 1887, 9[49]).
Branche paternelle parisienne
Branche maternelle corse et nantaise

Branche paternelle parisienne :

A / 1) PARISIEN-MOSELLAN : Julien-René-Jules COUROUVE,

Né le 3 octobre 1877 au 31 rue de Sambre-et-Meuse à Paris (10e) [Archives de Paris, V4E 3727, vue 15D/16] - décédé au 130 rue du Faubourg-Poissonnière à Paris (10e) le 23 novembre 1957, dessinateur-graveur.
Conscrit classe 1897, 1er bureau, liste principale, matricule  4574 (vue 17/19).

Demeure rue Burnouf, Paris XIXe, en 1901.
RetroNews


Croix de guerre 1914-1918, comme mon grand-père maternel Éon,


Fils de Justin Jean Nicolas Courouve (lien)


Thionville

- - lui-même fils de :
 -- Joseph François  Courouve, né le 6 février 1810 à Thionville (Moselle),



décédé le 2 novembre 1860 à Paris 10e.
 - - - - lui-même fils de Jean Nicolas Courouve né en 1760, vigneron en 1792 puis menuisier,

Signature de Jean Nicolas Courouve sur l'acte de naissance de Joseph François Courouve (1810) :

 - - - - - et de Magdelaine Méné née en 1764.

  Mariage Jean Nicolas Courouve x Madeleine Méné le 12 avril 1792 :
Signatures sur l'acte de mariage

Et de Marie-Thérèse REDEL, née à Metz le 6 février 1819, décédée Boulevard de l'Hôpital à Paris 13e le 3 mai 1869.


Mariage Joseph François Courouve x Marie Thérèse Redel le 7 octobre 1835 à 11 heures à Metz.


Et de Reine Amélie PURZYCKI, née à Paris (5e ancien) le 1er novembre 1857, vue 51/51 (état-civil reconstitué), - décédée après 1928, couturière, puis sans profession, demeurant 91 rue de la Chopinette (Paris, 10e ; devenue rue de Sambre-et-Meuse en 1877), puis 208 rue du Faubourg St Martin (Paris, 10e) et 83 Bd de la Villette (Paris, 10e).

Ferdinand Maröhn, Le peintre de la rue
de la Chopinette, 1849 (PIASA, PARIS)


 - elle-même fille mineure de
 - - Xavier Purzycki né vers 1900 en Pologne - décédé le 9 mars 1859 à Paris (Batignolles ; état-civil reconstitué)
 - - - - - - - - - fils de Melchior Purzycki
 - - - - - - - -- - et de Marie Anne Mackinska
 - - et de Anne Hortense WATRIN, née à Prosnes (Marne, canton de Beine-Nauroy, arrondissement de Reims) vers 1828, décédée à Paris (11e) le 20 juin 1901 (vue 30/31), au 27 rue Morand.
  - - - - - - - - fille de Jean Watrin
 - - - - - - - - et de Marie Catherine Druart.

 -- mariés à Paris le 28 novembre 1843 vue 26/51 (fiche rudimentaire d'état-civil reconstitué)

et acte reconstitué.

 - Sœur d'Auguste Xavier Purzycki, né à Paris (5e ancien) le 12 mars 1855, décédé à Aubervilliers le 4 avril 1894.





       et d'Adélaïde Hortense Purzycki, née à Paris (5e ancien) le 12 janvier 1844, sans profession, veuve de Charles Théodore Wissler, décédée à Paris 10e le 7 février 1927.

* * * Office général de l'imprimerie (Paris), Bulletin général de la papeterie... - 1894 (Année 17, N°3, page 49) - Chambre  syndicale des graveurs en tous genres, distribution des prix, Gravure d'écriture, pierre et métaux, 2e année : 2e prix,  Courouve (René).


A / 2) PARISIEN-MARSEILLAIS : Hélène Marie DAUBERT,

Voir la page spéciale

MON ARRIÈRE GRAND-PÈRE DAUBERT



Branche maternelle corse et nantaise :


A / 3) a) CORSE (Ajaccio) : Magdeleine Jacqueminette Angéline OLIVIERI

(patronyme provenant du prénom "Olivier"), sans profession, née le 12 octobre 1886 à Ajaccio, Corse-du-Sud, décédée le 19 juillet 1985 chemin de Vence, Le Thourounet, à Chateauneuf de Grasse, Alpes-Maritimes.


 - fille de François Marie OLIVIERI, rédacteur des postes et télégraphes, puis commis de Direction des Postes et Télégraphes, né le 20 février 1850 à Pianottoli-Caldarello (Corse-du-Sud).

 - - lui-même frère de :
- - - - - - - Louis Olivieri (Zérubia, 1834 - Bastia, 1903), évêque d'Ajaccio de 1899 à 1903.
 - - - -  - - Joseph Marie Olivieri né le 3 mars 1842.
 - - - -- - - Jean Marie Olivieri, jumeau de François, donc né le 20 février 1850.

 - et de Marie Françoise COGGIA, née à Ajaccio le 12 décembre 1863, décédée à Ajaccio le 14 mai 1900.
 - - elle-même fille de
 - - - - - - Baptiste Coggia, né à Ajaccio le 26 novembre 1821, marchand, décédé à Ajaccio le 2 février 1888.
 - - - et de Jacominette Sollacaro, 37 ans en 1863, décédée à Ajaccio le 14 novembre 1884.

Mariage Olivieri x Coggia le 12 janvier 1885 à Ajaccio.

A / 3) b) - cousine germaine du Dr Alphonse Noël Olivieri, né le 23 avril 1890 à Ajaccio, résidant à Paris en 1910, exempté du service militaire en 1911 pour bronchite spécifique, interne en médecine en 1919, décédé le 10 janvier 1975 (pas à Ajaccio ni à Lourdes), croix de guerre.

 - fils de Guiseppe Mario (Joseph Marie) Olivieri, sous-inspecteur des Postes et Télégraphes, puis inspecteur des Postes et Télégraphes, né à Pianottoli-Caldarello (canton de Serra-di-Scopamène, arrondissement de Sartène, Corse-du-sud) le 13 mars 1842,
  - - - - lui-même fils de Alphonzo Olivieri, né en 1811, propriétaire à Caldarello-Zérubia, puis à Sartène
 - - - - - - - - - - - -et de Diani, née en 1813, épouse légitime.

 - et de Marie Thérèse Garçain, sans profession, née à Ajaccio le 3 janvier 1853.

 - - - - Mariage Olivieri x Garçain le 18 août 1881 à Ajaccio avec comme témoins Jean Baptiste Bonérini, Julien Clinchard.

- Marié en 1921 à Tunis à Magdeleine Louise Agathe Sauvage (selon la mention marginale sur l'acte de naissance).

Membre suppléant du Conseil départemental de l'ordre des médecins de la Mayenne de 1945 à 1950.

 - président du « Bureau des constatations médicales » de Lourdes à partir de 1958.


 - auteur de Y a-t-il  encore de miracles à Lourdes ? 18 dossiers de guérisons, 1950-1969, Paris : P. Lethielleux/Lourdes : Œuvre de la grotte, 1969. Avec la collaboration de Dom Bernard Billet (1919-2012), O. S. B.
 Alphonse Oliviéri ; avec la collaboration de dom Bernard Billet, O. S. B., Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 18 dossiers de guérisons, 1950-1969, 2e éd. augmentée d'une conférence du professeur F. Thiébaut, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte de Lourdes, 1970.
Dr Alphonse Oliviéri et Dom Bernard Billet, O . B., Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 30 dossiers de guérison, 1949-1971, Œuvre de la Grotte de Lourdes. - 3e éd. revue et mise à jour, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte, 1974.
Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 21 dossiers de guérison, 1949-1978, 4e éd. refondue et mise à jour, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte, 1979.
Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 22 dossiers de guérison, 1949-1989, 5e édition refondue et mise à jour par le Dr Th. Mangiapan, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte de Lourdes, 1990.

Bibliographie :
Sandrine Cogat-Droulez , « Religion, science et « miracles », le cas de Lourdes » , Socio-anthropologie : http://socio-anthropologie.revues.org/160
Vidéographie :
 http://www.ina.fr/video/S707632_001/bureau-des-constatations-des-miracles-bonjour-video.html


A / 3) c) - nièce de Louis Olivieri, né à Zérubia (Corse-du-sud) le 27 décembre 1834 - décédé place de l'Hôtel de Ville à Bastia (Haute-Corse) le 17 mai 1903, curé de St Roch à Ajaccio, chevalier de la Légion d'honneur par décret du 29 décembre 1898, puis nommé évêque d'Ajaccio le 7 décembre 1899, sacré le 18 février 1900 en la chapelle des Lazaristes à Paris (6e). Inhumé dans la cathédrale d'Ajaccio.
            - fils de Alfonzo Olivieri
               et de Marie Magdeleine Diani

Mgr Louis Olivieri

Source numérisée état-civil Bastia, page 151/220.


Début XXe siècle ; merci à Pierre DENAMIEL


A / 3) d) Sœur de Alphonse Jacques Olivieri né le 19 novembre 1892 à Ajaccio, licencié en droit, exempté du service militaire pour endocardite chronique, secrétaire général de la préfecture de l’Orne le 11 juillet 1930 puis sous-préfet d’Argentan du 13 octobre 1931 jusqu’à sa nomination à la sous-préfecture de Béthune le 6 juin 1939. sous-préfet d'Argentan (Orne) autour de 1936, sous-préfet de Béthune du 16 au 17 juillet 1939, puis au Gouvernement général de l'Algérie en 1939 ; président du Conseil de préfecture interdépartemental de Limoges (Haute-Vienne) à partir du 1er août 1945 et jusqu'au moins 1948, officier de la Légion d'honneur, décédé à l'âge de 61 ans le 27 décembre 1953.



 Sœur de Jean Baptiste Alphonse Louis Olivieri, né le 12 octobre 1889 à Ajaccio, répétiteur puis professeur d'italien, bon pour le service armé en 1909 (matricule 1069), sursitaire, sursis annulé en 1914, décédé à Grasse (Alpes-Maritimes) le 28 janvier 1961.

 Sœur de Jacqueminette Baptistine Olivieri, née le 24 juin 1895 à Ajaccio, sans profession, mariée à Don Sauveur Paganelli, décédée le 18 janvier 1984 à Ajaccio.
 


A / 3) e) - Belle-sœur de Don Sauveur Paganelli, (voir l'article en lien).


Village natal du grand-oncle Paganelli, Sainte-Lucie-de-Tallano (Corse du sud)

A / 3) f) - Un de ses cousins était le polytechnicien Jean-Charles Justin Xavier Gille-Maisani,


Mariage Olivieri x Éon : le 17 novembre 1910, à Ajaccio (Corse-du-Sud). Parmi les témoins, Jean Marie Olivieri, 59 ans, percepteur en retraite, oncle paternel de l'épouse, et Édouard Éon, né en 1871 (39 ans), carrossier, frère de l'époux.


A / 4) NANTAIS (6e canton) : Joseph-Henri ÉON, né à Nantes rue de Lamotte-Picquet le 9 septembre 1877 (1E 1375 vue 49) - décédé 3 rue Duplaa à Pau (64) le 19 mars 1976.

Voir la page spéciale détaillée



B / Mes arrière-grands-parents (AGP, bisaïeux)


B / 1a) : page spéciale : Mon AGP Justin Courouve


B / 1b) Reine Amélie PURZYCKI, née à Paris (5e) le 1er novembre 1857 - décédée après 1928, couturière, puis sans profession, demeurant 91 rue de la Chopinette puis 208 rue du Faubourg St Martin et en mars 1929 au 83 Bd de la Villette (10e).

  - sœur de Adélaïde Hortense Purzycki, née le 12 janvier 1844 à Paris (5e ancien), couturière, mariée le 9 mars 1865 à Théodore Charles Wisler, tailleur de limes, décédée le 7 février 1927 200 rue du Fg St Martin, Paris 10e (acte 719 établi sur la déclaration de Roger Barbier, 23 ans, employé 65 rue de Bretagne.

 - sœur de Auguste Xavier Purzycki, né le 12 mars 1855 à Paris (5e ancien), charretier, marié le 2 septembre 1882 à Marie Louis Roussey, menagère.
 - - - - - - deux enfants, Louis Auguste Marius Purzycki, né le 19 septembre 1883 à Paris 19e, classe 1903, matricule 3778.
                                Marie Louise Purzycki, née le 26 décembre 1888 à Paris 19e, épouse de Raymond René Humbert, décédée à l'hôpital Avicenne, 115 rue de Stalingrad, à Bobigny (Seine-Saint-Denis) le 16 juillet 1968. Jacques Brel y décèdera en octobre 1978. Cet hôpital est aujourd'hui au n° 125 de la rue.

- - - -fille de Xavier Paul Purzycki  né en ????, réfugié polonais - décédé le 9 mars 1859 à Paris, Batignolles ; état-civil reconstitué, fichier V3E/D 1243, vue 26/51, et actes reconstitués.
                             - - - lui-même fils de Melchior Purzycki et de Marie Anne Mackinska.
 
 - - - - - et de Anne Hortense WATRIN, née le 18 janvier 1828 à Prosnes (Marne), vue 27G/170, décédée le 20 juin 1901 (vue 30D/31), 27 rue Morand à Paris (11e)
 - - - - - - - - - -  elle-même fille de Jean Watrin (Voititrin sur l'acte de naissance d'Anne-Hortense), né le 31 mai 1789 à Cunel, Meuse, cordonnier
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - et de Marie Catherine Druard, née le 24 mars 1793 à Gesnes-en-Argonne (Meuse)
A. D. Marne



             Mariage Watrin x Druard le 31 octobre 1815 à Gesnes-en-Argonne, (Meuse)

- Mariage Purzycki x Watrin à Paris le 28 janvier 1843 ; fichier V3E/M 847,  vue 26/51 ; acte reconstitué 9530.

Anne Hortense Watrin, veuve de Xavier Purzycki en 1859, s'était remariée avec un Sieur Danguin, puis avec Auguste Jean Baptiste Absil.


B / 2a) voir la page spéciale

 Jules Ambroise DAUBERT (AGP, 1855-1915)



B / 2b) Jeanne Albertine Marie BAILLY, née à Paris (10e) le 11 octobre 1867 (vue 11D/31) passage Sainte-Marie N° 20, sans profession, puis couturière,

- - fille de Ulysse Bernard Bailly, né à Cenon, Gironde, le 23 octobre 1836, vues 20D-21G/26, tourneur en fer puis mécanicien, décédé à Paris, 10e, 19 rue Louis Blanc, le 16 février 1892.
 - - - - lui-même fils de Jean Bailly, né le 11 avril 1808 à Saint-Savivien (Charente-inférieure), 2E 411/414, vue 7D/160, charpentier de navire en 1830, constructeur de navire en 1836, puis journalier, demeurant à Lormont en 1830, à Cenon en 1936, et à Arcachon, Gironde, en 1870.
 - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - lui-même fils d"André Bailly (Baillis), charpentier de navire, né en 1767 à Saint-Savinien,, décédé le 30 janvier 1841 à Saint-Savinien, fils de Pierre Baillis et de Catherine Véron
 - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - et de Marguerite Saurin, née à Saint-Savinien en 1770, décédée à Saint-Savinien le 14 septembre 1848, fille de Michel Saurin et de Françoise Maigne.
                                                   Mariage Bailly x Saurin le 26 novembre 1792 à Saint-Savinien.

 - - - - - - - - - - - et de Jeanne Gautey son épouse, née le 22 novembre 1809 à Lormont (Gironde), vue 137D/187, sans profession, demeurant à Lormont en 1830, à Cénon en 1836, puis revenue à Lormont, Gironde, en 1870,
 - - - - - - - - - - - - - - - - - - elle-même fille d'Arnaud Gautey (Gautier sur l'acte de naissance de Jeanne), né le 13 octobre 1780 à Lormont (Gironde), charpentier de navire, lui-même fils légitime de défunt Jacques Gautey et de Valérie Carles, décédés à Lormont avant le mariage de 1806.

 - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - et de Catherine Thérèse Clement, née le 28 février 1802 à Lormont, décédée le 3avril 1824 à Lormont (Gironde), vue 6D/15. Elle-même fille légitime de Pierre Clément, vigneron, et de Élisabeth Sallebœuf.

                                                      Mariage Gautey x Clement le 23 juin 1806 à Lormont.Vue 53/130. En présence de Pierre Carles, cousin germain de l'époux, d'Arnaux Clément, matelot, 33 ans, frère de l'épouse.

                             Mariage Bailly x Gautey le 26 juillet 1830 à Lormont (Gironde) ; vues 14D-141/191.

- - et de Marie Louise Richard, née le 21 mai 1835 à Brûlon, arrondissement de La Flèche, Sarthe ; vues 43D-44G/350, apprêteuse en lingerie en 1864 puis journalière et piqueuse de bottines puis sans profession.

Brûlon, Sarthe

 - - - - - -  elle-même fille de François Richard, né à Pirmil, arrondissement de La Flèche, le 14 janvier 1793, garçon domestique puis voiturier, décédé le 27 mars 1848 à l'âge de 55 ans,
 - - - - - - - - - - - - fils de Claude Richard, né en 1741, décédé en la commune de Pirmil le
                                     13 Floréal an XI (14 juin 1803) ; vue 114/330.
  - - - - - -- - - - et de de Jeanne Leplé (ou Leplet), décédée à Pirmil, arrondissement de La Flèche (Sarthe) en Floréal ou Germinal an XI, vue 115D-116G/330, elle-même fille de François Leplet et de Jeanne Perrine Mongault.

  - - - - - - - et de Louise Jeanne Lemercier, née à Saint-Christophe-en-Champagne (Sarthe) le 28 Fructidor an XII (15 septembre 1804), décédée à Brûlon (Sarthe) le 27 février 1874 (vue 261/560), journalière puis sans profession, fille de Jean Lemercier (fils naturel de Jeanne Lemercier) et de Louise Moiré (fille de René Moiré et Louise Nouet).

                 Mariage Lemercier x Moiré le 12 juin 1792 à Saint-Christophe-en-Champagne (Sarthe) ; vues 460-461/466. Du côté de l'épouse, présents ses père et mère, frères et soeurs et son oncle.
 - - Mariage Richard x Lemercier le 25 janvier 1823 à Saint-Christophe-en-Champagne (Sarthe) ; vue 107-108/152.

A. D. Sarthe
             Mariage Bailly-Richard le 10 novembre 1870 à Paris, 10e (vue 20G/31). Ce mariage légitima deux enfants nés auparavant, Jeanne Albertine, née le 11 octobre 1867 à Paris 10e, et son frère aîné Georges Ulysse, né le 10 septembre 1864 à Paris, 10e ; Vue 18D/31. Quatre témoins (cf GeneaNet)

- - Mariage Daubert x Bailly le 23 mai 1885 à Paris (10e), leurs parents respectifs présents et consentants ; V4E 6360, vue 25D/31.


B / 3a) François Marie OLIVIERI, né le 20 février 1850 à Pianottoli-Caldarello, frère jumeau de Giovani Mario (Jean Marie), teint brun, déclaré bon pour le service armé en 1870 (matricule 348),
 - - fils de Giacomo Alfonzo Olivieri, né le 18 avril 1812 à Zérubia (Corse-du-Sud), domicilié à Sartène (Corse-du-Sud) en 1870, propriétaire à Sartène en 1885
 - - et de Marie Magdeleine DIANI, née en 1813, domiciliée à Sartène en 1870, décédée à Sartène le 28 novembre 1885.

- Au moins trois frères :
- - Louis (27 décembre 1834 à Zérubia - 1903 à Bastia), curé de la paroisse St Roch puis évêque d'Ajaccio
- - Guiseppe Mario (Joseph Marie), né le 13 mars 1842 à Pianottoli-Caldarello.
- - Giovani Mario (Jean Marie), né le 20 février 1850 à Pianottoli-Caldarello, jumeau de mon AGP François Marie.

Le patronyme Olivieri reste actuellement largement répandu ; une recherche sur Google.com effectuée le 13 mai 2012 fournissait sur ce nom 26 600 réponses.

Mariage Olivieri x Coggia le 12 janvier 1885 à Ajaccio.


B / 3b) Marie Françoise COGGIA, née le 12 décembre 1863 à Ajaccio, décédée à Ajaccio le 14 mai 1900.
 - - - - - - fille de :
 - - - - - - - - Baptiste Coggia, né le 25 novembre 1821 à Ajaccio, décédé à Ajaccio le 2 février 1888, fils de Joseph Antoine Coggia, né en 1795 à Ajccio, décédé le 9 mars 1867 à Ajaccio, marin, et de Marianne son épouse, marchand puis négociant et propriétaire,
 - - - - et de  Jacominette Sollacaro, née en 1826, propriétaire et négociante, décédée à Ajaccio le 14 novembre 1884, elle-même fille de Félix Antoine Sollacaro, né le 11 octobre 1799 à Ajaccio (acte du 15/10/1811), marin, décédé à Ajaccio le 6 mai 1870, et de Madeleine Corticchiato née en 1802.

                  Mariage Sollacaro x Corticchiato le 5 août 1824 à Ajaccio. Témoins : Sylvestro Mattéi, 36 ans ; Antonio Prospéri, 23 ans ; Gio Maria Poggi (d'après les signatures ; les prénoms sont francisés dans l'acte)

        Mariage Coggia x Sollacaro le 6 décembre 1845 à Ajaccio, les parents présents et consentants ; parmi les témoins Joseph Siciliano, cousin germain de l'épouse.

Mariage Olivieri x Coggia le 12 janvier 1885 à Ajaccio.


B / 4a) Édouard Jean Joseph  ÉON, né le 18 octobre 1842 à Nantes, 6e canton (vue 54/63), menuisier
 - - fils de Joseph Michel Éon, né le 6 octobre 1815 à Saint-Herblain (Loire-Atlantique), vue 15G/21, menuisier
  - - - - - - - lui-même fils de André Éon, laboureur, né à Bouée (Loire-Atlantique) en 1789, puis roulier (voiturier), décédé le 15 avril 1827 à Nantes, 1er. Fils de Pierre Éon et de Françoise Benoiston.
  - - - - - - - - - - - - -  et de Marie Catherine MINEAUD, tailleuse puis serveuse, née à Saint-Herblain le 24 novembre  1788, fille de Fidèle Mineaud (décédé à Saint-Herblain le 21 janvier 1789), sabotier, et de Marie Bossard (décédée à Saint-Herblain le 24 Prairial an XII), rentière, décédée le 9 juin 1866 à Nantes, 5e canton.

                                         Mariage Mineaud x Bossard e 10 novembre 1778 à Saint-Herblain.

                                Mariage Éon x Mineaud le 21 février 1811 à Saint-Herblain ; vue 3D-4/14.

 - et de Henriette Eulalie Craissac, née le 13 février 1816 à Nantes, 6e canton, vue 15G/113
 - - - - - - elle-même fille de Jean Craissac, né en 1770 à Montpeyroux (Hérault, district de Lodève) plâtrier en 1794, puis rentier, décédé le 19 février 1860 à Nantes (5e canton), fils de Jacques Craissac et de Anne Delaure,

             Mariage Craissac x Delaure le 8 novembre 1758 à Montpeyroux, Hérault.

 - - - - - - - - - - - - -  et de Anne Barjolle, née le 22 mars 1771 à Pont-Saint-Martin (Loire-Atlantique), lingère en 1794, décédée le 19 juin 1838 à Nantes (6e canton), elle-même fille de Damien Barjolle, garde de la forêt de la Meilleraye, et de Anne Courgeaud.
                                    
                   sœur de Élisabeth Craissac, née le 7 Vendémiaire an XII (30 septembre 1803) à Nantes, 17e section, rue Rubens.
                    sœur de Jean Craissac, né le 23 septembre 1806 à Nantes, 3e division.
                    sœur de Virginie Clarice Craissac, née le 23 septembre 1806 à Nantes, 3e division.
                    sœur de Jacques Craissac, né le 17 décembre 1810 3 rue de Gigant à Nantes, 6e canton ; vue 118/137.
                    sœur de François Hilarion Craissac, né le 1er mars 1813 à Nantes, 6e canton.

               Mariage Craissac x Barjolle le 9 Frimaire an III (29 novembre 1794) à Nantes,
                   section La Halle, Vue 23G-D/93. Jean Craissac alors domicilié rue Rubens,
                  Anne Barjolle rue Crébillon. Témoin : Hilarion Barjolle, 22 ans, menuisier,
                  frère de la future.

Mariage Éon x Craissac : le 3 janvier 1842 à Nantes, 6e canton. Vue 2G/61. Témoins : Jean Craissac, plâtrier, 45 ans, frère de l'épouse, Jacques Craissac, plâtrier, 31 ans, frère de l'épouse


B / 4b) Amélie Athalie Marie DUTERTRE, tailleuse, née le 24 décembre 1847 à Nantes (5e canton), vue 63D/65.
- fille de Mathurin Joseph Alexis Dutertre, né le 13 janvier 1819 à Riaillé (Loire-Atlantique, arrondissement d'Ancenis), charpentier, demeurant rue du Pas Périlleux à Nantes, 3e, en 1847,
 - - - - - - lui-même fils de Pierre Dutertre, charpentier, né à Petit-Mars le 26 septembre 1775, domicilié à Riaillé en 1808,
                                       - - - lui-même fils de Pierre Dutertre (fils de René Dutertre et de Mathurine Bonneau), originaire de la commune de Petit-Mars, décédé à Riaillé le 15 décembre 1806 (vue 14/14)
                                                          - - - et d'Anne Coneau née le 13 juillet 1755 à Saint-Herblon, décédée le 12 mars 1837 à Riaillé

                                Mariage Dutertre x Coneau le 29 août 1775 à Saint-Herblon.

                                et de Jeanne Julienne Thievin, née à Bonnœuvre (Loire-inférieure, arrondissement d'Ancenis, canton de Saint-Mars-la-Jaille) le 1er mars 1789, décédée à Riaillé le 30 août 1823 (vue 5G/10) ; beaux-frères de la défunte : Julien Dutertre,39 ans, laboureur, et Jean Dutertre, 35 ans, journalier.

                                      - - elle-même fille de Pierre Thiévin (fils de Pierre Thievin et Marie Juvin), décédé à Bonnœuvre le 14 avril 1807
                                                                et de Anne Champion  (fille de Pierre Champion et d'Anne Morin)
                                       Mariage Thievin x Champion le 12 novembre 1737 à Riaillé.

                                Mariage Thievin x Champion le 9 février 1773 à Riaillé. Vue 5/20.

- - - - - - - Mariage Dutertre x Thievin le 21 novembre 1808 à Bonnœuvre ; vue 5G/6 ; en présence de Jean Dutertre, 21 ans, laboureur, frère de l'époux.
 
- et de Véronique LETOURNEUX, née le 11 janvier 1815 à Couffé (Loire-Inférieure, arrondissement d'Ancenis, canton de Ligné), débitante de vin puis ménagère, demeurant 19 rue Crébillon à Nantes, 5e en 1847.
 - - - - - Mariage Letourneux x Gaudard le 19 février 1809 à Couffé (Loire-Inférieure) ; vues 2D-3G/7

Mariage Dutertre x Letourneux le 11 janvier 1847 à Nantes, 5e canton ; vue 6G/64.


Patronymes par générations :

En gras, les patronymes conservés à la génération suivante.

G 9 : Treize 7-aïeux sur 256 : Antoine CRAISSAC, Florent DUBOIS, Charles ÉON, Pierre ÉON, Nicolas LALLEMENT, Anne MABILLE (épouse Dubois), Lucie MASSIN (épouse Lallement), Jean MOIRÉ, Marie MOISAN (épouse Pierre Éon), Antoinette NOUGARÈDE (épouse Craissac),  Catherine ROUSSEAU (épouse Moiré), Marie SORET (épouse Charles Éon), Michel WATRIN.


G 8 : Cinquante-quatre 6-aïeux sur 128 : Pierre BAILLY (Baillis), Christophe BERNARD, Jean BENOISTON, Madeleine BERNIN (épouse Leger), X ALBITRECCIA, Mathurine BONNEAU (épouse Dutertre), Pierre BOSSARD, Marie CAHYER (épouse Godard), Valérie CARLES (épouse Gautey), Pierre CHAMPION, Pierre CLEMENT, Giuseppe COGGIA, Jean CONEAU, Jean CRAISSAC, Catherine DEGUY (épouse Lallement), François DELAUZE, René DEROUET, Gilles DRUARD, Anne DUBOIS (épouse Watrin), René DUTERTRE, Marie ÉON (épouse Michel ÉON), Michel ÉON, Gabriel GAGNEUX, Jacques GAUTEY, Pierre GODARD/GAUDARD, Marguerite GUILHAUMON (épouse Craissac), Jeanne GUILLARD (épouse Benoiston), Marie HÉAS (épouse Derouet), Marie JUVIN (épouse Thievin), Gilles Nicolas LALLEMENT, Jean LEGER, François LEPLET, Jean LETOURNEUX, Catherine LIEGÉ (épouse Sartelet), Anne LONJON (épouse Delaure), Jeanne LOYER (épouse Letourneux), Marie LUNOT (épouse Richard), Françoise MAIGNE (épouse Saurin), Françoise MENORET (épouse Nicolas), Jean MINAUD/MINEAUD, René MOIRÉ, Jeanne Perrine MONGAULT (épouse Leplet), Anne MORIN (épouse Champion), Jacques NICOLAS, Louis NOUET (épouse Moiré), Mathurine PROVOST (épouse Coneau), Marie RADIGOIS (épouse Bossard), Joseph RICHARD, Elisabeth SALLEBŒUF (épouse Clement), François SARTELET, Michel SAURIN, Eulalie Marie SOMAIZE (épouse Bernard), Pierre THIEVIN., Catherine VÉRON (épouse Bailly), Brigitte VIAUD (épouse Minaud), Louise VIVIER (épouse Gagneux), Jean WATRIN, Giulia X (épouse Coggia).


G 7 : Cinquante-sept 5-aïeux (AAAAGP) sur 64 (7 inconnus) :
Antoine ALAUX, Agathe Marie ALBITRECCIA (épouse Sollacaro), André BAILLY, Jeanne BARBÉ (épouse Bardin), Jean BARDIN, Damien BARJOLLE, Giacomo BARTOLI, Catherine BASTELICA (épouse Corticchiato), Françoise BENOISTON (épouse Éon), Michel BERNARD, Marie BOSSARD (épouse Mineaud), Marie Antoinette CAPMARTY (épouse ALAUX), Anne CHAMPION (épouse Thievin), Catherine Thérèse CLEMENT (épouse (Gautey), Gio Batta COGGIA, Marie-Thérèse Collignon (épouse Courouve), Anne CONEAU (épouse Dutertre), Étienne CORTICCHIATO, Anne COURGEAUD (épouse Barjolle), Jean-Nicolas COUROUVE/COUROURE, Jacques CRAISSAC, Jean DAUBERT, Anne DELAUZE (épouse Craissac), Marie DEROUET (épouse Letourneux), Catherine DETTOU (épouse DAUBERT), Marie Nicolette DONZELLA (épouse Coggia), Louise DRILLON (épouse Gagneux), Claude Antoine DRUARD, Pierre DUTERTRE, Pierre ÉON, Benoit GAGNEUX, Jacques GAUDARD/GODARD, Arnaud GAUTEY, Marie Jeanne LALLEMENT (épouse Druard), Marie LAUVRAY (épouse Redel), Marie LÉGER (épouse Bernard) Jean LEMERCIER, Jeanne LEPLET (épouse Richard), Jacques LETOURNEUX, X MACKINSKI, François MÉNÉ, Fidèle MINEAUD/MINAUD, Louise MOIRÉ (épouse Lemercier), Marie NICOLAS (épouse Gaudard), Paul Antoine NOCETO, Alfonzo OLIVIERI, X PURZYCKI, Étienne REDELClaude RICHARD, Anne SARTELET (épouse Watrin), Marguerite SAURIN (épouse Bailly), Jean André SOLLACARO, Angélique TAVERA (épouse Noceto), Pierre THIEVIN, Henry WATRIN, Bianca Maria X (épouse Bartoli), Maria Felice X (épouse Olivieri), X XX (épouse Mackinski), .X XX (épouse Purzycki).


G 6 dernier niveau complet : Mes trente-deux arrière-arrière-arrière-grands-parents (AAAGP ou 4-aïeux, quadrisaïeux) :
Jeanne Marie Étiennette ALAUX (épouse Daubert), Jean BAILLY, Marguerite BARDIN (épouse Redel), Anne BARJOLLE (épouse Craissac), Caterina BARTOLI (épouse Olivieri), Louis BERNARD, Joseph Antoine COGGIA, Magdelaine CORTICCHIATO (épouse Sollacaro), Jean CRAISSAC, Jean Nicolas II COUROUVE, Barthélémy Antoine DAUBERT, Giacomo DIANI, Maria Francesca DIANI (épouse Diani), Marie Catherine DRUARD (épouse Watrin), Pierre DUTERTRE, André ÉON, Marie Françoise GAGNEUX (épouse Bernard), Marie GAUDARD/GODARD (épouse Letourneux), Jeanne GAUTEY (épouse Bailly), Louise LEMERCIER (épouse Richard), François LETOURNEUX, Madeleine MÉNÉ (épouse Courouve), Marie Anne MACKINSKA (épouse Purzycki), Marie Catherine MINEAUD (épouse Éon), Marianne NOCETO (épouse Coggia), Louiso OLIVIERI, Melchior PURZYCKI, Dominique REDEL, François RICHARD, Félix Antoine SOLLACARO, Jeanne THIEVIN (épouse Dutertre), Jean WATRIN.


G 5 : Mes seize arrière-arrière-grands-parents (AAGP ou trisaïeux) : Ulysse Bernard BAILLY, Anne BERNARD (épouse Daubert), Baptiste COGGIA, Jean François COUROUVE, Henriette Eulalie CRAISSAC (épouse Éon), Jean Marie Guillaume Augustin DAUBERT, Marie Madeleine DIANI (épouse Olivieri), Mathurin  Joseph Alexis DUTERTRE, Joseph Michel ÉON, Véronique LETOURNEUX (épouse Dutertre), Alfonzo OLIVIERI, Xavier Paul PURZYCKI, Marie Thérèse REDEL (épouse Courouve), Marie Louise RICHARD (épouse Bailly), Anne Hortense WATRIN (première épouse Purzycki), Jacominette SOLLACARO (épouse Coggia).


G 4 : Arrière-grands-parents (ou bisaïeux) : Jeanne Albertine Marie BAILLY (épouse Daubert), Marie Françoise COGGIA (épouse Olivieri), Justin Jean Nicolas COUROUVE, Jules Ambroise DAUBERT, Amélie Athalie Marie DUTERTRE (épouse Éon), Édouard Jean Joseph ÉON, François Marie OLIVIERI, Reine Amélie PURZYCKI (épouse Courouve).


Génération 3 : Grands parents (ou aïeux) : Julien René Jules COUROUVE, Hélène Marie DAUBERT (première épouse Courouve), Joseph Henri ÉON, Magdeleine Jacqueminette Angéline OLIVIERI (seconde épouse Éon),




Ajaccio. Photo © Office de Tourisme d'Ajaccio / Jean HarixçaldeFiliatio


Filiation matrilinéaire (la seule certaine) :
Claude Courouve
Josette ÉON
Madeleine OLIVIERI
Françoise COGGIA
Jacominette SOLLACARO
Madeleine CORTICCHIATO
Catherine BASTELICA
Peregrina BARBIERI





mercredi 16 août 2023

Dr GILLE-MAISANI, Jean-Charles

Né en Allemagne occupée, carte d'identité
établie en France occupée



Mon parent Jean-Charles Gille, puis auto-renommé Gille-Maisani, est né le 22 mai 1924 à 21 h 35 à l'hôpital militaire de Trèves, Allemagne (transcription le 6 juin 1924 par le maire de Romagne-sous-les-Côtes). Il est décédé le 29 janvier 1995 (mention marginale sur l'acte de naissance effectuée le 4 mars 1995) à 16 h 48 d'un cancer du pancréas à Sainte-Foy (Québec, Canada), alors âgé de 71 ans. Il  était polytechnicien, ingénieur en chef de l'Air, psychiatre et psychologue.


Monsieur Gille during a class of EE at Laval University. He was a very dedicated professor. This picture was taken while in class and was used (with his permission obviously) to fund raise graduation activities for the 1994 promotion. Needless to say that the T-shirt on which this picture was printed sold very fast as "Monsieur Gille" was a popular and respected figure. " Nous sommes pressés, allons lentement " (We're in a hurry, let's go slow) was one of his favorite sayings.
Monsieur Gille pendant un cours de Génie électrique. Photo utilisée (avec sa permission, il va sans dire) pour une levée de fond pour les activités de la promotion 1994. Le T-shirt avec cette photo s'est vendu très rapidement . " Nous sommes pressés, allons lentement ", probablement son dicton préféré.
Personal picture of S. Damphousse.


A / Généalogie
BÉléments biographiques
C / Publications en mathématiques et en physique, sous le nom de Gille
D / Œuvres de graphologie et psychologie
E / Bibliographie
F / Archives familiales


A / Généalogie :

Fils d'
- Angéline Jeanne Maisani, née le 30 novembre 1885 sur le paquebot Lou Cettori reliant Marseille à Ajaccio, et de
- Charles Étienne Gille (1874-1963), né et décédé à Romagne-sous-les-Côtes dans la Meuse, colonel du génie, directeur du matériel des chemins de fer dans les années 1930, commandeur de la Légion d'honneur ;

il était aussi titulaire de la Croix de guerre 1914-1918.


Ce mariage Gille x Maisani eut lieu à Nice le 18 mars 1919 avec l'autorisation du général de division Gouverneur militaire de Paris. Aucun des quatre témoins n'est membre des familles, ce qui laisse supposer que ce mariage en lieu neutre, ni la Corse, ni la Meuse, s'est fait sans l'accord d'au moins une des familles.


Angéline Jeanne Maisani et ma grand-mère maternelle Marie Madeleine Olivieri étaient cousines germaines, leurs mères respectives, Marie Xavière  Coggia et Marie Françoise Coggia (née le 12 décembre 1863), étant sœurs.

Marie Xavière (née le 8 mai 1852) et son autre sœur Agathe Marie (née le 15 janvier 1850) épousèrent deux frères, Dominique Antoine et Ange Pascal Maisani : mariages respectivement le 17 mai 1876 (acte N° 34) à Ajaccio
... Baptiste Coggia négociant et propriétaire et de Dame Jacqueminette née Sollacaro, conjoints domiciliés à Ajaccio ici présents et consentants d'autre part ; lesquels nous ont requis de procéder ...


et le 24 octobre 1870 (acte N° 83) à Ajaccio.

Ange Pascal M. et Agathe Marie C. ont eu une fille, Jeanne Annette Baptistine Maisani (1884-1949), dont la fille Renée Angèle Marie Agry (1904-1985) épousa Robert Cloitre, le frère de mon oncle Raymond Cloitre.


Angéline Jeanne, la mère de Jean-Charles, est donc la fille de Marie Xavière Coggia et Dominique Antoine Maisani.

Dominique Antoine était le fils de Jean-Baptiste Maisani et de Rose Chiarisoli.
Marie Xavière et Marie Françoise étaient les filles de : Baptiste Coggia et de Jacominette Sollacaro, mes arrière-arrière-grands-parents qui sont des arrière-grands-parents de Jean-Charles G. (c'est pas facile de formuler des liens généalogiques !!).

Charles Étienne Gille est le fils de Justin Gille, né le 2 novembre 1846 à Romagne-sous-les-Côtes (Meuse), propriétaire domicilié en cette commune, et de Marguerite Rosalie Cochenet, née le 2 mai 1844 aussi à Romagne-sous-les-Côtes.

* Justin Gille, fils de Pierre Étienne Gille né le 13 avril 1815 à Romagne-sous(les-Côtes et d'Anne Catherine Loison née en 1823.
 - Pierre Étienne Gille : fils de Jean Gille, cultivateur, né le 1er septembre 1776 à Romagne, et d'Anne Catherine Marchal, née à Romagne le 25 février 1781. Le mariage Gille x Marchal eut lieu le 22 juin 1814 à Romagne-sous-les-Cotes.
 - - Jean Gille, fils de Jean Gille, décédé le 22 septembre 1809 à Romagne, et d'Anne Marie Haumasselle, décédée le 12 novembre 1792 à Romagne,
 - - Anne Catherine Marchal, fille de Louis Marchal décédé le 29 Frimaire an XIII à Romagne, et de Jeanne Henry.

* Marguerite Cochenet : fille de Nicolas Cochenet né en 1789, percepteur des contributions directes, décédé le 12 décembre 1854 à Romagne-sous-les-Côtes, et de Marie Marguerite Thomas, rentière, née en 1810.
 - Nicolas Cochenet
 - Marie Marguerite Thomas


B / Éléments biographiques :

Jean-Charles naît à l'hôpital militaire de Trêves, alors que son père, chef de bataillon au 52e Génie, fait partie des troupes d’occupation de la Rhénanie, en application du traité de Versailles.



Domicilié 15 rue Gambetta à Saint-Cyr l'École (Yvelines) dans les années 1930, puis 17 rue Saint-Joseph, Le Chesnay (Seine-et-Oise) en 1940.

Appréciations des professeurs en classe de mathématiques, daté 5 juin 1940 :
Philosophie : Excellent élève, très consciencieux et très brillant. Doit réussir très brillamment.
Histoire : Bon élève.
Allemand : Somme énorme de connaissances, esprit très ouvert, de beaucoup le meilleur élèves de la classe.
Mathématiques : En tête de sa classe quoiqu'un des plus jeunes.
Sciences physiques : Excellent élève : très brillant, dont le succès ne fait pas de doute.
Sciences naturelles : Très bon élève.
Passe le bac Philosophie à partir du 29 juillet 1940 à Versailles. [La même année que le bac Mathématiques].
LYCÉE JANSON DE SAILLY
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M Gille   Sp1
a été reconnu
inapte temporaire
du service civique rural
À Paris, le 29 juin 1942
Ingénieur diplômé de l'École polytechnique de Paris (promotion 1943, il avait 19 ans ; sa mère tenait  beaucoup à ce qu'il soit polytechnicien comme son père). Il obtient un MA en Automation à l'Université d'Harvard (Cambridge, Massachuchetts). De retour en France en 1948, il entre aux Services techniques aéronautiques, devient pilote avec le grade de colonel. Comme officier de réserve, il devait piloter de temps en temps. Il obtient une licence de lettres spécialisée en psychologie, puis un doctorat en médecine à la Faculté de médecine de Paris (1970). C'est son vif intérêt pour la graphologie qui l'avait conduit à faire des études de médecine.

Il fut également professeur, directeur d'études puis sous-directeur de l'École nationale supérieure d'aéronautique de Paris. À partir des années 1960, il enseigne l'automatisme et les mathématiques à la Faculté des sciences et de génie de l'Université Laval de Québec, au Canada.

En 1963, outré par l'abandon de l'Algérie par le général de Gaulle, il est témoin de la défense au procès (28 janvier - 4 mars) de Jean-Marie Bastien-Thiry, polytechnicien comme lui et d'une promotion voisine, impliqué dans l'attentat du Petit-Clamart contre le président de la République française ; j'ai passé l'année précédente 1962  les vacances d'été avec lui et ma mère dans sa maison familiale de Romagne ; il avait un vieux serviteur russe, Mouratov, qui nous racontait comment la vodka avait sauvé plusieurs personnes d'une intoxication alimentaire.

Pendant cet été 62, il nous emmena visiter sa ville natale, Trêves. Il reçut la visite de ses sympathiques collègues canadien Louis Mozart Boisvert (professeur en génie électrique à l’Université Laval)et français Paul Decaulne (Ingénieur-en-chef de l'armement) qui avait une 404. C'est à Boisvert que je dois mes première notions de phonétique et vocabulaire canadiens (expressions telles que " chauffer le char ", " une suite de trois appartements ", ainsi que d'humour canadien, notions enrichies lors de mon séjour au Québec en juillet 1967, à l'occasion de l'exposition universelle à Montréal. Boisvert nous racontait des histoires, comme celle-ci :
 - Le client chez le disquaire : Mademoiselle, avez-vous le Trouvère ?
 - La vendeuse : Non, je n'ai rien de verdi.

Jean Charles Gille déplorait profondément la déchristianisation de la France ; il aimait bien la Pologne, qu'il connaissait, où plusieurs de ses livres ont été traduits et où il a été honoré : il reprochait vivement au gouvernement polonais, me disait-il, les entraves mises à la liberté du culte catholique. Mais c'est finalement au Québec qu'il émigra en 1966 (après avoir été plusieurs années professeur-visiteur à Laval) ; il en appréciait, me disait-il, le mélange de vieille France et d'Amérique moderne.

Il croyait non seulement à dieu, mais aussi à diable et à ses maléfices. Il m'affirma un jour que Thomas d'Aquin avait définitivement prouvé l'existence de Dieu. Il me raconta aussi que des personnes avaient organisé un truquage en vue d'un faux miracle à Lourdes, en maquillant des radiographies pour y faire apparaître une maladie incurable, puis crié au miracle au retour de Lourdes ; les radios de contrôle auraient alors constaté la présence de la maladie (histoire que je n'ai jamais pu élucider).

Après son décès à Sainte-Foy, oraison funèbre de la sœur de ma mère Josette , Marie-Amélie Cloître : " Il était trop intelligent ; toute sa vie, il a vécu comme un malheureux ; il ne faut pas pas être trop intelligent. " Ceci parce qu'il ne portait pas une grande attention à l'état de ses vêtements ... Ma mère, in petto : " Toi, ma vieille, de ce côté-là, tu n'as rien à craindre. " (raconté plus tard).

Ma mère était athée quasiment de naissance ; sa sœur Marie-Amélie croyante, comme leur mère Marie Madeleine Olivieri ;  mais quand je demandais à cette tante Lili : " Tu vas à la messe, donc ? " elle me répondait : " J'ai pas de temps à perdre ! "

Jean-Charles, célibataire, a (comme mon grand-oncle Paganelli et moi) vérifié la devise nietzschéenne "Aut liberi, aut libri". (Soit des enfants, soit des livres).

Il publie une multitude d'œuvres dans des domaines assez variés comme les mathématiques (algèbre linéaire et analyse), la modélisation et la conception de systèmes asservis (le pilotage automatique des missiles), la psychologie, la caractérologie, la graphologie, le rapport entre les groupes sanguins et le caractère, etc. Si je me souviens bien de ce qu'il m'avait dit, il était du groupe A, comme moi.


C / Publications en mathématiques et en physique, sous le nom de Gille

Introduction aux systèmes asservis non linéaires, Paris : Dunod, 1977, 1984 2e édition, collection : Dunod université.
Base des systèmes asservis non linéaires : BTS-DUT, écoles d'ingénieurs, Paris : Casteilla, 2000.

En collaboration avec Marc Clique :
La représentation d´état pour l´étude des systèmes dynamiques, 1, Variables et équations d'état, Paris : Eyrolles, 1975 ; texte d'un cours professé à l'Université Laval de Québec, 1966-1967, et à l'École polytechnique de Silésie à Gliwice, 1970
Calcul matriciel et introduction à l'analyse fonctionnelle. 2, Fonctions de matrices, espaces métriques, matrices orthonormales et contractantes, Paris : Eyrolles ; Montréal : Éditions LIDEC, 1981
Calcul matriciel et introduction à l´analyse fonctionnnelle, Lidec, Montréal, 1984 
Systèmes linéaires, équations d´état, Paris : Eyrolles, 1984, 1990 2e édition revue et augmentée.

En collaboration avec Paul Decaulne et Marc Pélegrin :
Systèmes asservis non linéaires, Paris : Dunod, 1967, 1975 3e édition, 1988 5e édition revue et augmentée, collection Dunod automatique.
Introduction aux systèmes asservis extrémaux et adaptatifsParis : Dunod, 1976, collection Dunod automatique.
Dynamique de la commande linéaire, Paris : Dunod, 1981, 1985, 1989, 8e édition refondue, 1991, 9e édition
Théorie et calcul des asservissements linéaires, Paris : Dunod, 1982, 6e éd. refondue et augmentée, 1984, 7e édition augmentée et mise à jour, 1987, 8e édition, 1990, 9e édition, 1992, 10e édition.


D / Œuvres de graphologie et psychologie
Gille, Application du test de Wartegg à des schizophrènes, Paris : A.G.E.M.P., s. d. ; thèse médecine Paris. 1963. N° 1137.

Avec le professeur Augusto Vels à sa droite


Sous le nom de Gille-Maisani pour la suite.
Adam Mickiewicz : poète national de la Pologne, étude psychanalytique et caractérologique, Montréal : Bellarmin ; Paris : Les Belles lettres, 1988.
Adam Mickiewicz : studium psychologiczne : od dzieciństwa do Dziadów części trzeciej,  ; przekład Agnieszka Kuryś, Katarzyna Marczewska, Warszawa : Wydawn. naukowe PWN, 1996.
Écritures de poètes. [1], De Byron à Baudelaire, Paris : Dervy, 1977.
Écritures de compositeurs de Beethoven à Debussy : musique et graphologie, Paris : Dervy, 1978
Types de Jung et tempéraments psychobiologiques : expression dans l'écriture, corrélation avec le groupe sanguin, utilisation en psychologie appliquée, Paris : Maloine ; Saint-Hyacinthe (Canada) : EDISEM, 1978.
Écritures de poètes. 2, Sully-Prudhomme, Verlaine, Verhaeren, Coppée..., Paris : Dervy, 1981.
Poésie, musique et graphologie : écritures de poètes et de compositeurs, compléments, Paris : Dervy-livres, 1988.

Tempéraments psychobiologiques et groupes sanguins : expression graphologique et artistique, Paris : Éd. Frison-Roche, 1991.

Psychologie de l'écriture, études de graphologie, Paris : Payot, 1969.
Psychologie de l'écriture : suite à "L'A B C de la graphologie", Paris : Payot, 1978, 2 éd. refondue, 1984, 3e éd., 1989 (nouvelle édition), collection : Psychologie Payot.
Psychologie de l'écriture : études de graphologie, Paris : l'Harmattan, 2008.

En collaboration avec Fanchette Lefebure :
Graphologie et test de Szondi, 1 : Le Moi, Paris ; Milan ; Barcelone : Masson, 1989 ; préface de L. Szondi.
Graphologie et test de Szondi, 2 : Dynamique des pulsions, Paris ; Milan ; Barcelone : Masson, 1990 (2e édition) ; Paris : l'Harmattan, 2007.


E / Bibliographie :

" L'enseignement de l'Automatique avait Commencé en France en 1956, à l'École Nationale Supérieure de l'Aéronautique à Paris, sous l'impulsion d'un polytechnicien, ingénieur militaire, J. C. Gille. Ce dernier avait pris conscience de l'intérêt des automatismes lors d'un séjour aux U.S.A. (M.I.T. et Harvard), intérêt essentiellement lié aux applications militaires. " (Pierre Vidal, HISTOIRE DE L’AUTOMATIQUE À LA FACULTÉ DES SCIENCES DE LILLE. 1958-1997).

Notice wikipedia  : Je ne l'ai pas créée, mais utilisée et complétée.


F / ARCHIVES FAMILIALES :




Courriers relatifs aux vains efforts de la mère de Jean-Charles pour obtenir pour son mari, colonel partant en retraite, le grade de général de brigade de la réserve. Le général Belhague lui répondit le 6 janvier 1934 : " À mon sens, les besoins d'encadrement des réserves, en ce qui concerne le Génie, ne nécessitent aucune promotion. "
Un peu plus tard, le 21 février 34, ces précisions du Secrétaire général de la Présidence de la République : " Tout ceci confidentiellement. Le général W. [Maxime Weygand] et le général B. [Charles Belhague] sont opposés en principe à de nouvelles promotions de généraux de brigade provenant de colonels atteints par la limite d'âge, ces nominations ne correspondant pas à des besoins réels de la mobilisation. "
En compensation, le colonel Gille obtint la cravate de Commandeur de la Légion d'honneur.