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mercredi 15 février 2023

L'AMOUR GREC DANS LES TEXTES LATINS DE MARTIAL, DE JUVÉNAL ET D'AUSONE ; suivi de NOTE SUR LES " MARIAGES " MASCULINS




MARTIAL (vers 40/102), écrivain satiriste latin,

Sources : Épigrammes, Bibliotheca Teubneriana (BT), Collection Budé (Belles Lettres), Loeb Classical Library (LCL) :
Et aussi : Thierry Martin, MARTIAL Épigrammes érotiques et pédérastiques, QuestionDeGenre /GKC, 2000.

Sur les spectacles : VI : César servi par Vénus.

Épigrammes, I, xxiv : celui qui était une mariée la veille ;
xli, 13 : un vieux cinède railleur ;
xcvi, 10-13 : un efféminé [molllis] qui regarde les mentules des hommes bien montés [drauci].
II, xxviii : qu'es-tu, Sextilius ? tu n'encules pas les garçons [nec pedico ; six catégories d'impureté, d'après Ramirez, 1607 : cinaedum esse, paediconem, fututorem, irrumatorem, fellatorem, cunnilingum] ;
xliii, 13 : ma main me sert de ganymède [et non de femme ; cf Arnaud de Vernioles, Affaire dePamiers ; cité par Forberg] ;
xlvii, 3 : le mari n'est pas un enculeur [pedico ; commenté par John Boswell] ;
li : ton pauvre ventre assiste au banquet de ton cul [Infelix venter spectat convivia culi] ; le ventre a faim, le cul dévore [cf XI, lxxvii ; cité par Forberg] ;
lxii, 1-4 :  Cui praestas, culum quod, Labiene, pilas ? pour qui t'épiles-tu le cul ? [cf Montaigne, I, xlix, 297 pour le premier vers ];
lxxxiv : Poeantius était efféminé [mollis] et facile ;
lxxxvi, 2 : je ne lis pas à l'envers le cinède Sotade [cité par Jean-Luc Hennig] ;
lxxxix, 6 : tu suces [fellas], c'est le vice de qui ?
III, lxxi, 1-2 : le garçon a mal à la bite, et toi? Nevolus, au cul ; je ne suis pas devin, mais ... ;
lxxiii, 4-5 : je voulais te croire efféminé [mollis] mais la rumeur nie que tu soies cinède ;
xcv, 13 : tu te fais enculer [pedicaris], Nevolus.
IV, xlii : le garçon [puer] que je demanderais ;
xliii : je ne t'ai pas appelé cinède, mais cunnilingue [cunnilingum] ;
lv : chanter les palestres de la libidineuse Lacédémone [cité par Montesquieu].
V, lv : le dieu brûle d'amour pour un garçon [puer ; Ganymède].
VI, xxxiii : maintenant le pédicateur Sabellus fout [en con] ;
xxxvii, 5 : il n'a pas de cul, c'est quand même un cinède [cité par Forberg] ;
xxxix; 12 : un visage pâle et un front de cinède ;
l, 3 : courtise les cinèdes ;
lvi, 1 : ; Quod tibi crura rigent saetis et pectora villis , l'entrejambe hérissé de poils et la poitrine velue [cf Montaigne, II, xvii, 641] ; 6 : fais en sorte, Charidemus, que l'on croit que tu te fais enculer.
VII, x, 1-2 : Éros se fait enculer [l'abbé de Marolles traduisait : " Éros trouve bon qu'on lui fasse d'étranges choses "], Linus suce ; Olus, que t'importe ce que l'un ou l'autre fait de sa peau [Pedicatur Eros, fellat Linus: Ole, quid ad te de cute quid faciant ille uel ille sua ?cf Montaigne, III, ix, 990] ;
lviii, 1 : Galla a déjà épousé six ou sept cinèdes ; 9 : la troupe des gens austères a aussi ses cinèdes [cf Montaigne, III, v, 845] ;
lxii,1 : Amillus perce des grands mecs en laissant les portes ouvertes ; 6 : Illud saepe facit quod sine teste facit, on fait souvent ce qu'on fait sans témoin [cf Montaigne, III, v, 867].
IX, viii, 5 : des corps immatures subissaient des outrages abominables [Domitien remit en usage la loi Scantinia] ; 9-10 : avant tu aimais des garçons et des hommes, jeunes ou vieux ; maintenant, César, ce sont des enfants qui t'aiment ; xvi : beauté d'Éarinos, échanson de Domitien ;
xxvii, 10-14 : Chrestus, libéré de son pédagogue, rencontre un homme bien monté [draucus] et l'emmène pour le sucer ;
xlvii : le dogme de quelle secte est-ce donc de se faire percer ? [cité par Forberg] ;
lxiii, 1 : Phebus, tous les cinèdes t'invitent à dîner.
X, xl : on me disait que ma Polla voyait un cinède ; mais ce n'en est pas un.
XI, xx, 5-6 : Fulviam ego ut futuam? Quid, si me Manius oret
Paedicem, faciam? Non puto, si sapiam. faudra-t-il que j'encule Manius ? [cf Montaigne, II, xii, 474 (499)] ;
xxii, 2 : tu couches avec un ganymède nu ; 6-8 : tes doigts accélèrent la venue de la virilité et de la barbe [Levibus in pueris plus haec quam mentula peccat et faciunt digiti praecipitantque virum : inde tragus celeresque pili mirandaque matri barba cf Montaigne, III, xiii, 1087] ; 9-10 : la nature a divisé le mâle : un côté pour les filles, un pour les hommes [cité par Forberg] ;
xliii, 1-2 : mon épouse qui m'a surpris dans un puer  me dit qu'elle aussi a un cul [réplique : de 3 à 12] ; 3-6 : c'est ce que Junon disait à Jupiter, et il n'en dormait pas moins avec Ganymède déjà grand [cité par Pierre Bayle] ; Hercule posa son arc et inclina Hylas, bien que Mégara [femme d'Hercule] eût des fesses ; 7-8 [Apollon avec Hyacinthe] ; 9-10 : Achille préférait un ami à la peau douce [levis amicus ; Homère, Iliade ; cité par A.-J. Beau] plutôt que Briséis ; 11-12 : évite donc de donner des noms masculins à tes trucs et dis-toi bien, ma femme, que tu as deux cons [épigramme imitée par Saint-Pavin] ;
xlv, 8 : celui qui pédique, ou qui fout [des femmes] n’est pas si timide ;
xlvi : " Sive puer arrisit, sive puella tibi. "cité par Richard Burton
lviii, 11 : At tibi nil faciam, sed lota mentula lana. je ne te ferai rien; mais ma mentule t'ordonnera de la lécher. [cf Montaigne, I, xlix, 298]
lxxvii : Vacerra s'enferme dans tous les cabinets, non pour chier, mais pour se faire inviter à dîner ; lxxviii : un mari à qui le con est étranger ;
lxxxvii : tu étais pedico et ne connaissait aucune femme ;
lxxxviii : Charisianus ne pouvait pédiquer car il avait le ventre relâché ;
civ, 20 : Junon fut un ganymède pour Jupiter.
XII, xvi, 2 : Labienus a acheté trois cinèdes ;
xlii : le barbu Callistrate épouse [nupsit] Afer comme une vierge épouserait un mari ; Rome, n'en as-tu pas assez ? Attends-tu aussi un accouchement ? [cité par John Boswell].
xcvii, 6-9 : le mari Bassus épuisé après s'être escrimé sur de jeunes blondins [cf Montaigne, III, v, 855]

" Bientôt la rentrée 2 : la réédition du best-seller de Thierry Fouet 
Sa traduction des Épigrammes de Martial " (Patrick Cardon, 27/8/16)

Voir le très fouillé article de Michel Magnien, " Légèreté, plaisir et désinvolture : Montaigne à l'école de Martial ? ", Montaigne Studies, XVII (2005) * Number 1-2, pages 97-118. Je remercie cet auteur de m'avoir signalé son article, ce qui m'a permis de corriger et compléter cette page en plusieurs endroits.


JUVÉNAL (vers 55/vers 140), auteur satirique latin,

Sources : Satires, collection Classiques de Poche (Belles Lettres), traduction Olivier Sers ; traduction française Paul Ducos/Perrin, 1887 ; Collection Budé des Universités de France Belles Lettres) ; Loeb Classical Library ; Perseus

Satires,

I, 46-47 : spoliateur forçant son pupille à se prostituer.
II Les hypocrites :
10 : l'égout le plus remarqué parmi les cinèdes socratiques [Castigas turpia, quum sis Inter Socraticos notissima fossa cinædos. ; Sers traduit tantouzerie socratiquecité par Forberg] ;
12-13 : rire du médecin quand il coupe les hémorroïdes [cité par Victor Trinquier, médecin-légiste] ;
20-21 : ceux qui parlent de vertu en remuant les fesses [de virtute locuti Clunem agitant. ; cité par Montesquieu] ;
43-47 : Laronia : réveiller les lois, évoquer avant tout la loi Scantinia ; les hommes en font plus que nous ; leur nombre les protège ; grande concorde entre les efféminés [molles ; cité par Jean de Salisbury] ;
50 : Hipso se soumet aux jeunes et pâlit de l'un et de l'autre excès [cité par R. James] ;
99 : le miroir du passif [pathicus] Othon ;
129 : un mec [vir] se donne à un autre mec ;
134-136 : un ami se marie [nubit] avec son fiancé dans l’intimité. Qu’il nous soit donné de vivre un peu, ces choses se feront au grand jour, publiées à l’état-civil [Liceat modo vivere, fient, Fient ista palam, cupient et in acta referri.];
164-168 : l’Arménien Zalacès, le plus ramolli [mollior] des éphèbes ; mœurs arméniennes.

IV, 106 : Rubrius, plus effronté qu'un cinède se mettant à écrire des satires [Sers traduit : " Plus insolent qu'une tantouze écrivant des satires "].
VI, 34-37 : pourquoi ne pas faire dormir un pusio [dérivé de puer] avec toi ? Avec un garçon, point de querelles nocturnes [Nonne putas melius, quod tecum pusio dormit ? Pusio, qui noctu non litigat, exigit a te Nulla jacens illic munuscula, nec queritur quod Et lateri parcas, nec, quantum jussit, anheles. ; cité par d'Hancarville] ; 345,2-3 ignobles personnages aux allures de cinèdes [invenies omnis turpes similesque cinaedis]., 345,23 : il prend une voix efféminée [suspectus tibi sit quanto vox mollior] ;
345,24 : il promène ses mains dans des fesses.

VII, 69 : si Virgile n'avait pas eu son petit esclave [nam si Vergilio puer et tolerabile desset hospitium]; 133 ; faire emplettes de garçons [pueros] ; 239-240 : jeux deshonnêtes [turpia] ; libertés réciproques.
VIII, 114-115 : nations [Corinthiens, Rhodiens] où les jeunes s’épilent à la résine et où les hommes ont les jambes lisses.
IX Les débauchés :
26 : À Névolus] : sans compter les hommes mariés que tu  fait s'incliner ;
32-34 : [Névolus] : il y a un destin même pour les organes qu'on cache ; si on n'a pas le Ciel avec soi, une longue mesure ne sert à rien [cité par Montaigne, III, v, 853]
35-37 : proposition de Virron qui te voit nu ; le cinède , comme le fer, appelle le mâle [αὐτὸς γὰρ ἐφέλκεται ἄνδρα κίναιδος. ; cf Homère, Odyssée, XVI, 294 (le fer attire l'homme) et XIX, 13 (le fer attire l'homme, γὰρ ἐφέλκεται ἄνδρα σίδηρος) ] ; 
38 : avarice phénoménale d’un efféminé [mollis] ;
42-43 : à la rencontre du repas de la veille [cf les expressions françaises pêcher la fiente à la ligne et courir la lance contre la lie de pain ;
130-134 : jamais un ami ne te manquera pour être ton patient [pathicus] ; ils y viendront toujours, de toutes parts, comme à leur rendez-vous, en voiture, en bateau, tous ceux qui se grattent la tête d'un doigt [un des signes distinctifs . cité par Richard Burton, Terminal Essay].


X, 53 : narguer avec le doigt du milieu [cité par Pierre-Marie Quitard] ; 196-197 : aspects différents des jeunes gens ; un tel est plus beau que tel autre ; 224 : les élèves que le maître Hamillus fait se baisser [cité par Henri I. Marrou] ; 295-298 : des parents qui ont un fils bien fait sont toujours malheureux et inquiets ; il est si rare que beauté et pudeur aillent ensemble ; 304-305 : perversité prodigue du corrupteur qui tente les parents eux-mêmes.
XIII, 41-43 : riches servis à table par des jeunes aussi beaux que Ganymède.
 

AUSONE (vers 310/vers 385), grammairien latin, rhéteur et poète,

Épigrammes, LCL ; traductions françaises 1843 et 1934-1935 :

50 : Rufus le rhéteur à un mariage : " puissiez-vous avoir des fils appartenant aux genres masculin, féminin et neutre. "
69 : moi-même j'étais garçon tout à l'heure, et me voilà fille [Ecce ego sum factus femina de puero ;cité par Richard Burton].
70 : à Pythagore sur le pédéraste [pullipremo] Marcus [cité par Virey]. que sera Marcus, qui vient d'exhaler son dernier soupir, s'il reprend encore le souffle et la vie ? — Quel était ce Marcus ? — Un matou friand de garçons, et qui corrompit toute la jeune espèce mâle. Fossoyeur d'une Vénus à l'envers, il bêchait par derrière : c'était l'embrocheur grippe-fesse[lxxii] du poète Lucilius. — Il ne sera ni taureau, ni mulet, ni chameau, ni bouc, ni bélier : il sera fouille-merde.
92 : mâle à demi [semivir] qui craint [la loi] Scantinia [cité par P. Guénois].
93 : vice bi-masculin [bimarem nisus ; cf Cicéron] ; femme par le dos, homme sur le devant [d'après Perse ; cité par Forberg].
119 : trois dans un lit, deux agents et deux patients [cf Straton ; cité par d'Hancarville et par Richard Burton] ;
131 : Contre un homme qui se polissait l’engin.
De ton anus échaudé tu arraches les herbes, et tu uses avec la ponce les aspérités de tes Clazomènes[cxxix]. Pourquoi ? je l'ignore ; à moins que ton tempérament n'aspire à une double épreuve, et que tu ne sois femelle par derrière et mâle par devant.

NOTE SUR LES "MARIAGES" MASCULINS

Des mariages masculins sont évoqués par dérision dans la littérature latine. Voir Cicéron, Philippiques ; Suétone, Néron ; Tacite, Annales, XV ; Dion Cassius, XLII, LXIII, LXXIX ; Martial et Juvénal ; Orose, VII ; Xiphilin.
« Tibère invente les sellarii et les spintriæ [cf Tacite] ; Néron épouse publiquement l'affranchi Pythagore [cf Tacite], et Héliogabale célèbre ses noces avec Hiéroclès [cf Dion]. » François-René de Chateaubriand (1768-1848), Génie du christianisme [1802], IV, vi, 13.

La loi romaine de 342 interdisait les " noces d'hommes " ; mais s'agissait-il auparavant de mariages en bonne forme juridique, ou de parodies ?
À la fin du Moyen-Âge : affrairamentum entre paysans dans le Midi ; usage ancien auquel le XVe siècle donne une nouvelle jeunesse. En 1446, Jean Rey, que sa femme a quitté, a un grand ami, Colrat ; " Il l'aime, il en est aimé. Échec conjugal, amitié masculine passionnée (non dépourvue d'ambigüité, dans ce cas et dans quelques autres) " note l'historien de Montaillou ; cf Emmanuel Le Roy Ladurie, Les Paysans du Languedoc, 1ère partie, chapitre 1, pages 39-40 de l'édition en collection Champs
(Flammarion).
Lopez de Gomara, Histoire générale des Indes Occidentales, II,xi ou III,xviii ; cf Montaigne, Essais, I,xxiii, 112 (bordels publics de mâles, voire et des mariages) et
ensuite les Dialogues de La Mothe Le Vayer (cité dans les appendices du DFHM).
Plusieurs Portugais et Espagnols à Rome, à l'église, en été 1578 ; Antonio Tiepolo, il 2 agosto 1578 : " Sono stati presi undeci fera Portughesi e Spagnuoli, i quali adunatisi in une chiesa, ch'e vicina san Giovanni Laterano, facevano alcune lor cerimonie, e con horrenda sceleraggine bruttando il sacrosante nome di matrimonio, se maritavano l'un con l'altro, congiongendosi insieme, come morito con moglio. Vintisette si trovano, et piu, insieme il piu delle volte, ma questa volta non ne hanno potuto coglier piu che questi undeci, i quali anderamo al fuoco, e come meritano ." Cf F. Mutinelli, Storia arcana e aneddotica d'Italia, Vol. I, " Roma e Milano ", Parte seconda, vii, Venise : P. Naratovich, 1856 ; Montaigne, Journal de voyage en Italie.
Thiers, Traité des superstitions qui regardent les sacrements : un riche Portugais et son domestique, avant 1704, avec dispense du Pape [??]. Fuite après qu'ils aient été découverts.
« Tibère invente les sellarii et les spintriæ [cf Tacite] ; Néron épouse publiquement l'affranchi Pythagore [cf Tacite], et Héliogabale célèbre ses noces avec Hiéroclès [cf Dion]. » François-René de Chateaubriand (1768-1848), Génie du christianisme [1802], IV, vi, 13.
« Le premier qui ait introduit le mot " Urning " dans la langue fut [Karl Heinrich] Ulrichs, qui, en 1864, se posa, sous le pseudonyme de Numa Numantius, en défenseur du bon droit des hommes qui se sentent plus fortement attirés vers l'homme que vers la femme. Dans son zèle à défendre cette cause, qui était un peu la sienne (car lui-même avait une nature uraniste) il alla jusqu'à désirer le sanctionnement légal et ecclésiastique du mariage et du commerce sexuel entre hommes ! » Dr A. Alétrino, " La Situation sociale de l'Uraniste ", AAC, 1901.
Vers le 20 avril 1866 : le Journal des frères Edmond et Jules de Goncourt rapporte « Un joli mot entendu : " On se marie beaucoup, cette année ... surtout les hommes ! " »
Heinrich Marx, Urnings Liebe, 1875 : demande l'institution du mariage légal de l'uraniste avec l'homme de son choix ; affirme que ce genre de mariage existe déjà en Albanie.
Années 1980, France : le pasteur baptiste Joseph Doucé (assassiné en juillet 1990) avait célébré plusieurs "bénédictions d'amitié" ; M. Dorwling-Caster, magistrat, a parlé de "mariages", ce qui dépassait la pensée et l'action du défunt pasteur.
Dernier ouvrage de John Boswell (1947-1994) : Same-Sex Unions in Premodern Europe, 1994 (Les Unions du même sexe dans l'Europe antique et médiévale, Paris : Fayard, 1996).


Voir aussi : Platon, Xénophon et Aristote
Plutarque et Athénée
AUTEURS LICENCIEUX GRECS ET LATINS